Je me suis fait détruire sur Facebook…mais je continue

Récemment, je lisais quelques commentaires sur certains de mes posts sur Facebook, et…
 c’était marrant de voir comment je me suis fais détruire. LOL
Mes articles sont bourrés de fautes. Ça pique les yeux. C’est une embuscade… etc.

WoW

Ça fait mal. Mais… c’est la vérité.

Mon site est bourré de fautes. La maîtrise de la langue française n’étant vraiment pas mon point fort.

Depuis les débuts, je m’efforce de produire du contenu, pour qu’il puisse servir à d’autres. Je le fais par plaisir, parce que je kiffe mon aventure au Japon, et que je sais que d’autres, peut-être vous, allez adorer.

Pour tout vous dire, je me suis fait prendre par l’effet Dunning-Kruger. Au début, je pensais que faire un blog c’était trop facile.

En regardant les conseils d’autres blogueurs, j’ai cru comprendre qu’il fallait juste écrire un article par semaine. Passer la traversée du désert, les 6 premiers mois, et puis c’est bon, la sauce allait prendre.

J’allais avoir plein de followers, je pourrais mettre de la pub, faire des partenariats et payer les serveurs, les backup, l’hébergement, les autorepondeurs etc…

Mais pas du tout…

Les premiers articles coulent de sources. Oui, ceux là sont faciles, car on a encore jamais fait.
En plus, on est motivé à fond.

Mais ensuite, la motivation diminue, parce que les visites sont faibles, parce qu’on se rend compte que 6 mois c’est long, mais plus important encore…

On fait né à né avec le problème de la Page Blanche.

Mon expérience de la page blanche

Pour moi, c’est lorsque que je me suis rendu compte qu’avoir des idées ne suffit pas.
Et plus généralement, SAVOIR ne suffit pas.

Vous pouvez avoir une liste d’idées d’articles sur Excel de plus de 300 idées et sujets à aborder.
Vous pouvez avoir des structures d’articles.
Vous pouvez connaître votre sujet comme la courbure de vos cheveux.

Il arrive assez souvent qu’une fois devant la page blanche, vous n’arrivez pas à savoir quoi écrire, par ou commencer, comment l’écrire.

Et le plus douloureux, c’est que vous avez beau demander à des amis, ils vont vous balancer des idées de sujets qui vous disent encore plus rien… que ce qui vous trottait dans la tête.

Ce problème de la page blanche rend la continuité très très très difficile. Du coup, on rate une semaine, puis deux, puis le mois passe et le site descend en chute libre sur Google.

Je pense que c’est ce qui fait que beaucoup de gens abandonnent. Ils ne voient pas le bout du tunnel, et se disent que l’écriture, ce n’est pas pour eux.

Dans mon cas, ce qui m’a permis de continuer ce sont deux choses :

  1. L’Urgence
  2. La Mission

L’urgence

Je publiais mes articles dans l’urgence. Je ne me donnais pas le temps de la relecture, ou de la correction.

  1. J’écrivais.
  2. Je mettais en forme.
  3. J’ajoutais des images.
  4. Je publiais.

Et hop, je passait au suivant.

Je me disais que si je n’écrivais pas maintenant, je n’allais jamais le faire.
Je me disais que si je ne publiais pas maintenant, je n’allais jamais le faire.

Pour cause, j’avais déjà écrit pas mal d’articles, que j’avais jamais publié.

C’était ma façon à moi de me forcer à agir.
Écrire dans l’urgence, publier dans l’urgence.

La Mission

  1. La Mission, c’est la mission dont je me suis investi. Cette mission qui est au dessus de ma petite personne, au dessus de mes problèmes d’écritures. C’est pour ça que je continue.

Parce que ce que je fais est plus important pour ceux que j’aide, que ceux qui me jettent des cailloux.

Je n’ai pas l’intention de m’arrêter tant que je n’ai pas partager tous ce que j’ai, et on pourra toujours me jeter des rochers, ça ne m’empêchera pas de continuer.

Maintenant, ces cailloux sont justifiés.
Je peux clairement faire mieux. Et avec le temps, j’apprend petit à petit de mes erreurs.

L’urgence, fait toujours partie de mon quotidien. Mais je m’efforce de faire attention à ce que je publie. En essayant de ne pas laisser trop de fautes derrière mon sillage.

Le problème de la page Blanche lui, est toujours là. Avec le temps, je devrais plutôt dire avec l’expérience, on arrive à le contourner. Il y a pleins d’astuces, de techniques, qui permettent de rendre ce problème quasi inexistant.

Les seules choses qui restent sont :

  1. La constance
  2. La continuité

Publié régulièrement, sans avoir de coupure dans le rythme et de ne pas abandonner.

On a tous des problèmes, ce qui nous différencie, c’est ce qu’on en fait.

Est-ce qu’ils vous stoppent ?
Où est-ce qu’ils vous poussent à aller de l’avant ?

C’est à vous d’en décider, et personne d’autre.

Les problèmes que vous rencontrer
– pour obtenir vos diplômes,
– pour trouver un stage,
– pour apprendre le japonais,
– pour partir au Japon,

– pour trouver un emploi,
– pour trouver l’âme sœur,
– pour éduquer vos enfants
– pour réaliser vos rêves…et devenir qui vous êtes réellement.

On a tous des problèmes. Mais ce ne sont pas eux qui nous définissent…

C’est ce qu’on en fait qui nous définis.

Merci pour votre lecture.

Peace & Action
(。•̀ᴗ-)و ✧

Wilde.

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